Mise à l'honneur
BBQ et mise à l'honneur de MATZ Germain.
Merci à tous pour votre présence et vous avez tous pu constater l'émotion de Germain qui a été mis à l'honneur.
En juin 2010 l’ ASSE de l’école (président Georges et trésorier Germain) a vu sa section « marche » se dissoudre et l’APCL a vu le jour avec Raphaël comme président et Germain comme trésorier, et ce jusqu’en 2016, date à laquelle il est devenu président jusqu’au 3 février 2024.
Actuellement il est membre actif et a été nommé président d’honneur.
Merci également à toutes celles et ceux qui ont alimenté le rayon pâtisserie, vraiment bien fourni.
Marie-Reine Matz m'a envoyé un SMS de remerciement ; message que je partage ici avec tout le monde
Bonjour tout le monde,
Lors de la dernière réunion du comité de l'APCL, il a été décidé de l'affectation d'une partie du bénéfice réalisé. Une sortie repas-spectacle équestre à Niderviller est donc programmée pour le samedi 14 septembre prochain.
Ballades printannières
Prendre l’air à Leyviller voir
"Les Terres du bord"
Circuit pédestre : 8 km, temps : 2 heures, Départ : de la forêt de Grossbusch. Suivre les anneaux rouges. Niveau de difficulté : moyen.
Le village de Leyviller, à mi-chemin entre Puttelange-aux-Lacs et Grostenquin, est né au temps des Celtes, environ 200 ans avant Jésus-Christ. En témoignent les nombreuses mares et mardelles que l’on trouve au détour d’une balade. Un circuit pédestre de 8 km autour de la commune permet de découvrir ces trous qui servaient d’habitat semi-enterré des Celtes et Gaulois.
En se dirigeant plus au sud, le randonneur traverse la zone humide d’Hohlwiefe et la roselière qui s’étend sur toute la largeur du village d’ouest en est, le long du ruisseau Mühlgraben. Libellules, crapauds, grenouilles, salamandres et tritons mais aussi bergeronnettes et autres rossignols invitent à ouvrir les yeux et tendre l’oreille.
Leyviller mérite que l’on s’y attarde pour ouvrir quatre pages d’histoire. L’église d’abord qui semblerait dater du VIIIe siècle. L’édifice religieux a subi les assauts des forces américaines en 1944 ; la façade porte encore des impacts des canons. En face, un calvaire du XVIIe siècle, constitué d’une statue de la Vierge, d’un portrait de Marie-Madeleine et d’un médaillon avec trois fleurs de lys rappelant le roi de France. Quelques mètres plus loin, une maison à colombage du XVIIe siècle dévoile un cachet particulier, particulièrement réussi. En poursuivant sa route, le promeneur découvre des bâtiments restaurés à usage d’habitation ou industriel. Ils sont les vestiges d’un casernement construit en 1936, un ensemble de dix-huit immeubles destinés au commandement, au logement des familles d’officiers et sous-officiers, bataillons, cuisines, infirmerie sans oublier le château d’eau et le champ de tirs. En s’enfonçant dans les terres, le marcheur tombe sur un bunker, vestige de la Seconde Guerre mondiale et de la ligne Maginot.