Bonjour à tous

 

                       Le Samedi 7 Octobre 2023 à  18 h 00 .

Une répétition générale (suivi d’un casse-croûte) se tiendra le 7 octobre à 18h.

Il est important qu’un maximum de personnes, particulièrement acteurs et guides,puissent être présentes.

 

 

Marche « A pas contés » 2023.

Marche A Pas Contés aura lieu le samedi 14 octobre 2023.

 

 

 

 

Petit rappel, les comptes rendus de réunions sont visible dans la rubrique "  Réunions  "

 

 

MARCHE IVV 2023

La couleuvre à collier

 

Est une espèce de serpents  qui vit au-delà du Rhin et en Europe du Nord. Elle peut arborer des couleurs allant du gris au noir, en passant par le brun et le verdâtre, mais elle est généralement reconnaissable au motif clair qu'elle porte sur la nuque et qui lui a valu son nom vernaculaire. Sa taille varie de 65 cm à plus de 1,40 m, les femelles étant plus grandes que les mâles.

Ce serpent est largement répandu en Europe ainsi qu'en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Il vit généralement non loin des cours et plans d'eau, où il trouve les amphibiens dont il se nourrit principalement. Il peut également chasser des poissons ou des micromammifères. Il peut se déplacer rapidement et avec aisance, aussi bien sur la terre ferme que dans l'eau. Il est non venimeux et inoffensif pour l'Homme. L'espèce est ovipare et a une espérance de vie d'environ 25 à 28 ans.

La livrée est de couleur très variable : généralement grise, elle peut tendre vers le marron ou le vert

La tête est généralement plus foncée que le corps. Cette couleuvre porte un « double collier » typique sur la nuque : jaune ou blanc, voire orange sur la partie antérieure et noir sur la partie postérieure

 Ce collier peut parfois être absent, notamment chez les vieux spécimens et certaines sous-espèces. Le dos et les côtés sont parsemés de motifs noirs en forme de taches arrondies ou de barres qui peuvent également s'estomper avec l'âge. La face ventrale est blanchâtre ou grise, avec un damier de taches noires. Ce damier est généralement unique et constitue donc un critère de reconnaissance des individus

Les écailles dorsales ne sont pas très fortement carénées et les carènes peuvent même être absentes sur la queue. Cette couleuvre présente au niveau de la tête une écaille temporale, une écaille préoculaire et trois écailles post-oculaire.  Les écailles inter nasales sont larges et rectangulaires. Elle possède également sept écailles labiales supérieures bordées de barres verticales noires et dont les troisième et quatrième touchent l'œil. À mi-corps, les écailles dorsales sont disposées en dix-neuf rangées. L'écaille anale est divisée en deux.

Les couleuvres à collier hivernent et s'accouplent peu après leur réveil en avril ou en mai, voire en juin. La spermatogenèse a lieu de fin mars à mai tandis que l'ovulation a lieu en mai ou juin. Des rassemblements prénuptiaux regroupant de nombreux individus (parfois plus d'une dizaine) ont lieu. Les mâles, non agressifs entre eux, y sont plus nombreux que les femelles et développent une parade nuptiale visant à attirer les femelles afin de s'accoupler avec elles. Généralement, ce sont les plus gros qui parviennent à s'accoupler. L'accouplement dure plusieurs heures. Un second accouplement arrive parfois à l'automne au sud de l'aire de répartition.

Durant la gestation, la femelle s'alimente moins régulièrement capture d'une grosse proie tous les 45 jours environ, contre 20 jours le reste du temps. Deux à plus de cinquante œufs (selon la taille de la femelle), qui vont enfler de 20 à 40 mm7, sont pondus en juin-juillet et éclosent 4 à 8 semaines après la ponte, selon les conditions d'humidité et de température

 

 

Ballades printannières

 

 

                             

 

 

Prendre l’air à Leyviller voir

                                     "Les Terres du bord"

 Circuit pédestre : 8 km, temps : 2 heures, Départ : de la forêt de Grossbusch. Suivre les anneaux rouges. Niveau de difficulté : moyen.

 

Le village de Leyviller, à mi-chemin entre Puttelange-aux-Lacs et Grostenquin, est né au temps des Celtes, environ 200 ans avant Jésus-Christ. En témoignent les nombreuses mares et mardelles que l’on trouve au détour d’une balade. Un circuit pédestre de 8 km autour de la commune permet de découvrir ces trous qui servaient d’habitat semi-enterré des Celtes et Gaulois.

En se dirigeant plus au sud, le randonneur traverse la zone humide d’Hohlwiefe et la roselière qui s’étend sur toute la largeur du village d’ouest en est, le long du ruisseau Mühlgraben. Libellules, crapauds, grenouilles, salamandres et tritons mais aussi bergeronnettes et autres rossignols invitent à ouvrir les yeux et tendre l’oreille.

Leyviller mérite que l’on s’y attarde pour ouvrir quatre pages d’histoire. L’église d’abord qui semblerait dater du VIIIe siècle. L’édifice religieux a subi les assauts des forces américaines en 1944 ; la façade porte encore des impacts des canons. En face, un calvaire du XVIIe siècle, constitué d’une statue de la Vierge, d’un portrait de Marie-Madeleine et d’un médaillon avec trois fleurs de lys rappelant le roi de France. Quelques mètres plus loin, une maison à colombage du XVIIe siècle dévoile un cachet particulier, particulièrement réussi. En poursuivant sa route, le promeneur découvre des bâtiments restaurés à usage d’habitation ou industriel. Ils sont les vestiges d’un casernement construit en 1936, un ensemble de dix-huit immeubles destinés au commandement, au logement des familles d’officiers et sous-officiers, bataillons, cuisines, infirmerie sans oublier le château d’eau et le champ de tirs. En s’enfonçant dans les terres, le marcheur tombe sur un bunker, vestige de la Seconde Guerre mondiale et de la ligne Maginot.

 

 

 

 

 

Le but de «À PAS CONTÉS LEYVILLER » est l’organisation de randonnées populaires, de randonnées à thèmes et de diverses manifestations et sorties à visée culturelle et de loisirs.

 Dans tous les cas, l’association ne poursuit aucun but lucratif, politique ou religieux.

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© Daniel Malnoury